Communication

Un Déclic dans le Street Art

C’est une aventure qui commence dans les années 80, avec la rencontre entre un jeune homme de 17 ans et le mouvement graffiti dans le métro de New York.

A l’époque (84-85), tout jeune étudiant aux Beaux-Arts de Poitiers, il découvre un article dans un magazine relatant les exploits de peintres, qui bravent les interdits en descendant dans le métro la nuit pour y peindre les wagons à la bombe.

C’est le Déclic immédiat, il commence à prendre des bombes de carrosserie de voiture qu’il utilise pour tester sur des cartons, des supports en bois, le mur de sa chambre, afin de se familiariser avec l’outil.

Puis, viens le besoin de sortir pour s’exprimer sur des supports plus grands et surtout plus visibles.

Il commence par mélanger les techniques de peinture traditionnelle, (son quotidien le jour aux Beaux-Arts) en y ajoutant des parties réalisées à la bombe.

Le côté interdit et le risque de se faire prendre lui font rapidement prendre conscience que la bombe de peinture est un outil exceptionnellement pratique qui permet, de se déplacer légèrement, facilement (sans pinceau ni diluant) et d’aller plus vite pour couvrir des murs la nuit.

Après ses deux premières années aux Beaux-Arts de Poitiers, il part pour son deuxième cycle vers les Beaux-Arts de Toulouse.

Le jour dans son atelier face à la Garonne, il peint au pinceau sur des supports trop petits de 2 à 3 mètres maximum, tout en affinant sa découverte et sa passion pour le monde de l’art contemporain.

La nuit, il sillonne les rues de Toulouse et laisse sa signature (son tag) partout ou il passe. Rapidement la ville de Toulouse et les toulousains vont découvrir le nom de « Déclic » dans tous les quartiers, mais surtout beaucoup autour du quartier Saint-Cyprien, du quai de la Daurade et du quartier Arnaud Bernard qui va devenir le quartier emblématique du graffiti à Toulouse.

Durant ces trois années passées à Toulouse, il va marquer les esprits de toute une génération de graffeurs qui viendront derrière lui pour finir d’inscrire Toulouse comme une capitale européenne du graffiti.

Par la suite, il va sillonner la France et continuer à propager sa signature un peu partout au fil de ses voyages.

Après de multiples expériences dans le domaine de la communication et des arts visuels, il arrive maintenant à concilier tous ses mondes qui l’habitent, le graffiti, l’art contemporain, la publicité et surtout l’époque.

De tous ses mondes, il a réussi à se créer un univers qui lui est propre, unique et sans équivalent dans le monde de l’art.

Aujourd’hui, il a décidé de reprendre le combat, mais autrement, en utilisant les codes de la communication actuelle, avec des images plus propres, plus sophistiquées, mais qui reprennent tous ses codes de l’art contemporain, du Pop Art et de la communication, en utilisant sa signature, son ADN, sa marque, son D emblématique, comme le centre de son travail.

Nous sommes fiers chez Maclaine d’accompagner Déclic dans sa communication et la création de son site internet.

Découvrir le site internet officiel de Déclic Street Artist de la première heure :  www.declic.world